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Il avait enlever son tablier et sa toque de chef qu'il avait portés toute la journée. Il était fier du rang qu'il portait au sein du restaurant de son grand-père, il avait tellement travailler pour en arriver là, pour avoir la confiance complète de sa famille. Il adorait quand les clients venaient complimenter sa cuisine. C'était un plaisir de venir travailler tous les jours dans cet endroit qui lui rappelait tellement de souvenirs de son enfance. Son téléphone vibra brusquement dans la poche de son pantalon noir, il l'attrapa et fixa un instant le nom de l'envoyeur. Vera. Sa chère meilleure amie dont il devait prendre soin depuis l'incident, depuis qu'il sait qu'il est le père de l'enfant qu'elle porte dans son ventre. Il regarda l'étendu du message, mais il ne retenu que le mot urgency, il attrapa sa veste en cuir et courra jusqu'à sa voiture pour rejoindre son appartement. Vera était trop importante à ses yeux, il se devait d'être toujours là pour elle, il se devait d'être le meilleur, il devait accourir aux moindres petits soucis même si à ses yeux ils n'avaient pas d'importances, mais pour le siens, ils en avaient. Arrivé à la porte, il entra après avoir tourné la clef qu'il trouvait à chaque fois en dessous du paillasson et enleva sa veste pour la mettre sur le porte manteaux. Il s'avança lentement dans l'appartement, trouvant que c'était bien curieux qu'elle ne soit pas assise dans le canapé. - Vera ? - S'exclama-t-il avant d'entendre des bruits étranges dans la salle de bain où il se précipita. Il la retrouva accroupi au dessus du WC en train de vomir ses tripes. Il poussa un cri de dégoût, mais il resta là parce qu'il se devait de la soutenir dans les bons, mais aussi les mauvais moment de sa grossesse.  - You want me to hold your hair? - S'exclama-t-il en manquant de lâcher un petit rire, heureusement il se rattrapa. Il n'allait quand même pas l'énerver et réveiller ses hormones de femme enceinte, il allait prendre cher sinon malgré que c'était très drôle de la voir dans cette situation. Il se souvenait encore de la première cuite qu'ils s'étaient prise à leur première soirée dans un bar, que des souvenirs, des souvenirs qu'il n'oubliera jamais, mais il était certain que d'autres viendraient s'ajouter à ceux-ci et ils seraient encore plus merveilleux.     

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Étouffée, angoissée Vera a vu sa vie basculait en quelques jours. La sentence est tombée pour de bon il y a deux jours quand son médecin lui a confirmé ce qu’elle redoutait. Elle est enceinte et ce pour de bon. Ce n’est plus une illusion, une idée fantasque, il y a bien un truc qui pousse en elle. Une chose difforme qui pleura bientôt qui allait ruinée sa vie comme lui a dit une amie. Tu parles d’une amie celle-là. Vera elle rumine depuis être rentrée de ce rendez-vous, elle a un peu volontairement ignoré les messages de Flynn, ou de quiconque d’autre. Elle s’est réfugiée dans ce qu’elle fait de mieux : pâtisser. Elle ne sait même pas si c’est les hormones déjà ou bien sa petite déprime mais après avoir faire des carrotmuffins elle les a dévoré les uns après les autres durant toute la soirée devant Walking Dead, ce qui lui a permis de passer ses nerfs, car voir des gens, la plus part des connards se faire bouffer par des zombies est jouissif pour la jeune femme à l’Alien dans le ventre. Mais les heures de sommeils lui manquent à son réveil, car sa douce nuit, grasse matinée a tourné court à cause de ces fichues nausées matinales. Elle a passé une demi-heure à vomir ce qu’elle n’a pas dans l’estomac et elle a remis ça quand en ouvrant sa barquette de myrtilles pour préparer ses muffins fétiches l’odeur lui provoquait des hauts de cœur incontrôlables. Elle a eu à peine le temps  d’envoyer un mot à son engrosseur comme elle maugréait la veille au soir et elle finit la tête dans la cuvette des toilettes. Son estomac ne supportait plus quelques aliments, ou des odeurs que d’habitude elle adorait. Son médecin a mis ça sur la grossesse ça arrivait, mais pour Vera ça se révèle plus catastrophique pour la femme lambda. Elle, elle est pâtissière, elle cuisine pour se nourrir, pour payer les factures, si elle supportait plus les ingrédients de ses produits phares alors elle a plus qu’à mettre la clé sous la porte et ça c’est la faute à son engrosseur. Plus de meilleur ami ne tient pour elle, Flynn est juste l’engrosseur qui l’a mis dans cette situation infernal. Une nouvelle vague désagréable remonte depuis son estomac et elle ne peut que la laisser aller. Elle entend quelque chose en fond, mais sous ses bruits de vomissements elle ne distingue pas grand-chose. – You want me to hold your hair ? – Elle essuie sa bouche avec un morceau de papier qu’elle jette dans la cuvette avant de tirer la chasse d’eau. – You !... – Seulement un courant d’air lui ramène la flagrance du parfum de Flynn et un autre haut de cœur lui soulève le cœur. Après avoir vomi ce qu’elle peut, haletante. – Go in hell and under shower ! Your … Your perfum is disgusting ! – Sa tête replonge dans la cuvette. Est-elle condamnée donc à ça pour ces huit prochains mois ? Vomir dès que Flynn entre dans une pièce, ou la prend dans ses bras ? Vera n’en peut déjà plus et se laisse aller à la colère, l’exubérance de ses hormones de femme enceint. – All this it’s your fault ! Only your fault ! I hate you ! I hate your perfect smile ! I hate this night wich was per… - Elle s’interrompt de nouveau et arrête de lutter contre les rejets de son corps en plein changement.

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- You !... - Il fit un bon en arrière surpris par le ton de sa voix.  Il avait parler beaucoup trop vite, elle était en colère, les hormones lui jouaient déjà des tours. - Go in hell and under shower ! Your … Your perfum is disgusting ! - Il la regarda d'un air étonné en haussant ses sourcils avant de sentir un bout de sa chemise. C'était pourtant son parfum habituel, mais il comprit ensuite que c'était l'un des symptômes de la grossesse d'une femme de réagir aux odeurs. - All this it’s your fault ! Only your fault ! I hate you ! I hate your perfect smile ! I hate this night wich was per - Un rire nerveux s'échappa de ses lèvres. - Okay.. I'll just take a shower and talk of thy hatred against me after .. - Disait-il sur un ton calme, posé, presque amusé par la situation. Il enleva sa chemise alors qu'elle était toujours accroupi par terre à vomir ses tripes, elle se retourna pour l'observer, ses petits sourcils froncés.  - What? Why are you looking me like that? I already take my clothes off in front of you. - S'exclama-t-il en haussant les épaules. Il se dirigea vers la douche qui se trouvait à quelques centimètres où elle se trouvait, il enleva son pantalon et entra dans la douche tout en fermant le rideau blanc qui l'entourait, il fit couler l'eau fraîche qui lui coula sur le visage.  - You really think I have a perfect smile ? - S'écria-t-il pour qu'elle l'entende malgré l'eau qui coulait du pommeau de douche, un sourire malicieux se dessina sur son visage. Il aimait bien la voir dans cet état, c'était comme voir un marchand de glace ambulant en pleine canicule et puis c'était sa meilleure amie, son petit rayon de soleil, il serait bien ennuyé sans elle même si elle le déteste aujourd'hui à cause de ce petit incident d'un soir qui l'a mise enceinte.       

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- Okay… I’ll just take a shower and talk of the hatred against me after… - Elle se relève à peine de la cuvette pour le foudroyer de nouveau du regard. - There is nothing to talk about. I just hate you. and I want you more than anything because it's your fault that pregnancy and everything that follows. - Elle se redresse enfin, même si son teint si jolie d’habitude, est bien trop livide, voir verdâtre. Elle le fixe avec fatigue retirer sa chemise, et elle se surprend à trainer son regard sur son torse dénudé. Elle déglutie non par les nausées, mais plus par la surprise de prendre du plaisir à le regarder. Aussitôt le visage de la demoiselle Moon se referme et elle regarde Flynn avec gravité. - What ? Why are you looking me like that ? I already take my clothes off in front of you. - Elle détourne son regard avec dédain ignorant ses paroles, mais qu’en apparence. Elle sait pertinemment que ce n’est pas la première fois bien sûr. Mais depuis leur nuit, elle porte un regard différent sur Flynn quand il cuisine. Ses bras, c’est surtout sur eux que son regard s’attarde maintenant alors qu’avant elle riait juste avec lui sans faire attention à ce genre de détails comme la tension dans ses avants bras, ou sa clavicule apparente par l’ouverture de sa chemise. Le médecin lui a bien fait comprendre que ça l’amusait de voir qu’elle a tous les symptômes de la bonne petite femme enceinte, alors que d’autres en ont un ou deux, elle, elle les a tous. Y compris celui de la libido exacerbée pour les premiers mois. S’il existait un prix de la personne avec le plus de chance/poisse du monde elle le gagnerait haut la main quand même. Elle se glisse jusqu’à l’espace entre la douche et la cuvette des toilettes et calle son dos contre le mure après qu’il est commencé à faire couler l’eau. Elle se permet alors de soupirer de ne pas le voir ainsi, même si l’envie d’y jeter un œil la titille définitivement. - You really think I have a perfect smile ? - Elle roule les yeux et se penche pour le frapper à ce qu’elle pense être le mollet. - Shut up jerk ! You just have an stupid and idiot smile ! - Bien sûr qu’il a un sourire parfait, elle l’a remarqué cette nuit, cette nuit une peu d’ivresse quand elle a réalisé ce qu’elle venait de faire et qu’étrangement elle retourna dans ses bras une seconde fois, puis une troisième fois. Elle peut mettre la faute sur l’alcool pour la première fois, mais les deux autres fois avec lui c’est beaucoup plus dur qu’elle était ivre bien sûr. Elle l’a réellement désiré, elle a réellement désiré autre chose que l’alcool lui faisait croire. Elle a désiré ce sourire qu’il lui adressait, elle a désiré ses bras et son toucher expert, elle a désiré ce regard fiévreux. Elle a juste désiré ce qu’elle découvrait de nouveau chez celui qui n’est que son meilleur ami depuis l’enfance. Tout ça s’est idiot à ses yeux, de s’attarder sur tous ces détails qu’elle aime chez les autres hommes et qu’elle retrouve chez Flynn. La grossesse après une erreur alcoolisée lui monte vraiment au ciboulot. - I cannot even stand those stupid nauseas, so how I can take care of a child, a baby. -Sa voix se brise, elle penche sa tête en arrière et regarde le plafond afin de retenir une vague de larmes innondant ses yeux. - I would do a stupid mother…-

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- There is nothing to talk about. I just hate you. and I want you more than anything because it's your fault that pregnancy and everything that follows.  - Au fond, il était blessé par ses mots, mais il remettait la faute contre ses hormones encore une fois. Elle était tout aussi fautive dans la situation, elle ne l'avait pas repoussé ce soir là, ce soir où tout à basculer, où ils n'étaient plus les meilleurs amis du monde, mais des amants sous l'effet de l'alcool.  - Shut up jerk ! You just have an stupid and idiot smile ! - Il rit, son rire résonna entre les parois de la douche. Une sensation étrange le parcouru lorsqu'elle toucha son mollet. Il ne comprenait pas trop le sens de celle-ci, il secoua sa tête après l'avoir passé sous l'eau. - I cannot even stand those stupid nauseas, so how I can take care of a child, a baby. - Il l'écouta attentivement en arrêtant le robinet, il sentait qu'elle craquait sous la pression, sur cette lourde responsabilité qui lui pesait sur les épaules et qui allait la suivre jusqu'à la fin de sa vie. Un enfant se n'était pas rien, c'était un être humain, une âme à protéger et à élever comme il se doit. Sa voix se brisa tout d'un coup, il eut un pincement au cœur. Il l'aimait tellement ce petit bout de femme, il ne voulait que son bonheur et celui du futur bébé qu'ils allaient avoir malgré qu'il n'était pas voulu. Il voulait qu'ils l'élèvent ensemble comme de vrais parents, il ne voulait pas l'abandonner. - I would do a stupid mother…- Il sortit immédiatement de la douche en se mettant une serviette autour de la taille, il s'approcha de sa meilleure amie et déposa ses mains sur ses épaules. - Never say that. We started in this together and we will face together. I 'll never let you Vera . And do not worry , I 'm sure you'll be the best mom in the world, our baby, it will be lucky to have you, so lucky . I love you. Never doubt you even if for the moment, I know it's hard to imagine you that your life will be with a child , but it is not necessary that you lower your arms for the child growing inside you, I know you'll love it and I love it already . - Il s'étonne de prononcer ses choses, il n'aurait jamais cru dire ça auparavant, mais là il sentait le besoin de lui avouer ces choses, de lui dire ce qu'il avait sur le cœur et de la rassurer du mieux qu'il pouvait. Il l'attrapa pour qu'elle vienne plonger sa tête sur son épaule, pour la serrer fort dans ses bras. C'était encore plus étrange, mais il appréciait ce moment, il aurait bien voulu que cela dur une éternité, une infini de petite seconde de pur bonheur. Il était bien et rassurer par ses propres paroles parce que lui aussi avait peur, peur de l'inconnu, peur de mal faire, peur de leur avenir. Heureusement comme il l'avait si bien dit, il était deux pour affronter cette situation.      

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Son rire, si léger et frais fit place au silence lourd de sens, lourd de solitude, simplement lourd et pesant. Elle s’attendait à ce qu’il n’intervienne, pas qui laisse ce silence la bouffer, elle le désirait, elle désirait au fond d’elle qui laisse ce silence lourd de sens et de peur la bouffer de l’intérieur, peut-être alors trouvera-t-elle le courage d’avouer qu’elle y songe. Qu’elle songe à abandonner tout simplement. A abandonner cette promesse faîte entre eux le jour de la révélation, cette autre promesse sur leur amitié. Juste abandonner et céder à la facilité, peut être ça serait juste le bien pour elle, pour lui, pour ce « bébé ». Elle entendit le rideau grincer en glissant sur la barre de métal. Flynn apparut rapidement dans son champ de vision, les cheveux encore parsemés de mousse de son shampoing. Mais l’odeur nauséabonde n’y était pas, il sentait la fraise, douce et sucrée. Ses yeux ancrés au sien, elle ne pouvait plus se cacher maintenant. - Never say that. We started in this together and we will face together. I 'll never let you Vera . And do not worry , I 'm sure you'll be the best mom in the world, our baby, it will be lucky to have you, so lucky . I love you. Never doubt you even if for the moment, I know it's hard to imagine you that your life will be with a child , but it is not necessary that you lower your arms for the child growing inside you, I know you'll love it and I love it already . – Elle en resta bouche bée. Totalement éberlué de cette assurance qui se dégageait de Flynn, de cet homme. Oui, il était bel et bien un homme à cet instant alors qu’elle n’était qu’une enfant pleurnicheuse. Ses mots à lui la frappèrent, et les larmes alors retenues jusque-là, rejeter, refouler, dévalèrent dévorant ses joues rougies. – I can’t Flynn. I’m not you… I…. I thought…about it. The voluntary termination. – Elle baissa la tête, très honteuse. Elle savait déjà, elle connaissait déjà sa reaction, ses mots allaient être durs, mais peut être qu’elle les attendait, alors elle alla plus loin encore. – It will be more easier. You will not have to take responsibility for anything. You will can live your life, like you want. I have just… I think you’re wasting your life with we, with the… this thing. Don’t ruin your life, Flynn. What will your family say ? You worked so hard to do what you want, for have their respect. Don’t do that Flynn. My mistake, my consequences. I’ll do it, Flynn. I’m going to get an abortion. I can’t do that, at you and your family… - Elle se releva sans un mot de plus, sans un regard cachant ainsi sa honte et sa détresse. Il l’avait toujours protégé, pris soin d’elle, elle devait en faire de même maintenant. Elle devait protéger l’avenir de Flynn et l’honneur de sa famille. Elle l’aimait Flynn, elle l’aimait trop pour lui demander ça. Alors Vera se dirigea vers la sortie, comme pour mettre un terme à cette conversation, mettre un terme à son choix, se convaincre simplement que c’est la bonne chose.

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Un sourire se dessina sur son visage, un sourire pour la rassurer encore une fois. Il voulait la voir heureuse et il était certain qu'il serait heureux ensemble, à trois. Ce qui allait suivre le brisa en mille morceaux.  - I can’t Flynn. I’m not you… I…. I thought…about it. The voluntary termination.   -  Il resta bouche bée, il voulait la rattraper dans son élan. Il ne voulait pas qu'elle parte aussi facilement. Non, il voulait voir un sourire sur son visage comme avant.  - It will be more easier. You will not have to take responsibility for anything. You will can live your life, like you want. I have just… I think you’re wasting your life with we, with the… this thing. Don’t ruin your life, Flynn. What will your family say ? You worked so hard to do what you want, for have their respect. Don’t do that Flynn. My mistake, my consequences. I’ll do it, Flynn. I’m going to get an abortion. I can’t do that, at you and your family…- Ses mots étaient tranchants, un coup de poignard en plein coeur. Elle ne pouvait pas faire ça, elle ne pouvait pas dire ces choses là. Il la regarda se relever sans un mot. Lui aussi était sans mot. Perdu dans ses pensées dans ce qu'il allait faire pour l’empêcher de faire l'erreur de sa vie.   - This is not a mistake.. - Articula-t-il lentement avant d'attraper sa main qui s'en allait plus loin.   - It's the hormones that make you say that. My family will not say anything, they will be happy for us so I'm happy. I want you to be happy too. We'll face your family together. I'm already in heaven because although I've knocked up, you stay my best friend. - Il essayait de la résonner, de lui faire comprendre à nouveau qu'il serait toujours là pour elle et qu'elle ne lui gâchait guère la vie. Il essaya de capter son regard pour montrer sa sincérité, son enthousiasme. Parce que oui, il était de cette expérience, de l'avenir qu'on leur réservait. Elle ne pouvait pas avorter, elle ne pouvait pas parce que Flynn voulait voir ce bébé parce que même si il avait peur, il voulait voir grandir cet enfant.  - You can not, you can not drop this baby, our baby. - S'exclama-t-il en se perdant de ses petits yeux fatigués, dans son regard troublé. Il espérait que ses mots allaient lui faire changer d'avis, mais il craignait aussi le pire. Il ne voulait pas perdre son amitié, perdre son petit rayon de soleil, sa Vera. - I don't want you to be scared, I want to see the strong Vera because she has nothing to fear. I'll say it again, I would always be there for you no matter what happens, I promise. I.. - Il ne savait plus quoi ajouter, il espérait que cela suffise, il l'espérait de tout son coeur.  

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Elle savait que ça allait faire des dégâts. Elle savait qu’elle lâchait une envolée de bombes sur eux, sur le calme de leur relation, mais elle faisait ça pour empêcher un champignon atomique par la suite, qui ruinerait leur vie, surtout sa vie à lui. Vera n’avait pas peur pour elle, mais pour lui. Flynn réussissait tellement bien son rêve, qu’elle ne voulait en aucun cas devenir un boulet, elle et cet Alien en elle pour lui. Le privé d’une véritable famille, d’amour. Pour elle, elle aurait été égoïste de le garder, Flynn, pour elle, juste et uniquement pour elle. – This is not a mistake… - Le fait qu’il attrape sa main, le fait qu’il la touche, comme cette nuit là, mais sans plus que de l’amitié, la pousse, ce petit lutin effrayé un peu plus dans ses retranchements. – Yes, it is a mistake Flynn ! You know it. I know it. Everyone will know it ! – Elle n’arrivait pas à ce qu’il l’écoute, qu’il raisonne comme elle. – It’s the hormones that make you say that. My family will not say anything, they will be happy for us so I'm happy. I want you to be happy too. We'll face your family together. I'm already in heaven because although I've knocked up, you stay my best friend. – Sa meilleure amie. Voilà là où elle voulait en venir. Elle n’était que sa meilleure amie. – The problem is here. I’m just your best friend Flynn. You don’t see the problem. It’s like… It will be you will be my prisoner, our prisoner. How you will can explain our child ? Until now, the girls left you, because I’m so closed of you ! And after this ? Flyn open your eyes ! It’s not a dream, it’s a nightmare ! For you, for me and it will be for him or her ! We can’t be more that best friends, so parents ? Can you imagine our life ? I ? I can’t… Please just… stop… - Elle se perdait dans son regard, son ocean de tendresse, mais la fatigue et la colère l’empêcher de profiter de ça comme avant. – You can not, you can not drop this baby, our baby. – Elle secoua la tête, lassée et pas despérée, elle ne changerait pas d’avis. Ca allait lui couté, à eux deux, mais elle se devait de le faire. – You’re my best friend Flynn, and for you, for us, for our relationship I can’t change my mind. – Elle se leva éprouvée de porter la responsabilité de tout cet act, de toute cette décision. – I don’t want you to be scared, I want to see the strong Vera because she has nothing to fear. I’ll say it again, I would always be there for you no matter what happens, I promise. I… - Elle se retourna vers lui, s’avança pour s’accroupir tout près de lui et lui caressa le visage avec tendresse. – I’m her, I’ll do for us Flynn. Our mistake will not be one for this…- Elle effleura son ventre craintive que cette chose en elle la brûle ou pire. – You deserve a real family, a real relationship, a real love, with someone who loves you. I love you but not like this…- En était elle sûre de ça Vera ? Pas tellement car les mots lui furent quasi arraché de force sous son raisonnement dominateur. – I just want something real ! Not something like this with you… You should be the godfather of my child, not the father… It’s crazy…. It wil be a disaster ! – Elle resta là une main sur sa joue râpeuse, le regard déterminé et l'âme brisée.